Première rencontre

Dans le passé, nous avons été dans le désert profond et nous y avons laissez beaucoup d'amis.

J'aime cet endroit car il respire une liberté sans égal, et je me rapel cette odeur unique que l'on ne sent que la-bas.

Citation :

L'homme qui tuait un adversaire était ensuite responsable de l'épouse et des enfants du vaincu

je trouve beaucoup d'honneur dans ces geste que je connais bien et les partages.

Je suis Hugues de Payns et me présente a vous en homme libre pour comprendre,

Les gardes se regardèrent, et l'un d'eux dit à Hugues :

Dans ce cas, vous devriez déjà avoir compris. Vous avez tout ici à portée de main pour comprendre. Prenez votre temps.

C'etait la seul chose que vous pouviez me répondre...

Un homme portant le même uniforme apporta un message à l'interlocuteur d'Hugues, qui le lut et le rendit en donnant un ordre. L'autre homme passa le barrage de gardes pour porter la missive au chef de l'A.L.D.

Votre Gouvernesse pleure, Samaréen. Elle est en deuil. On nous accusera...

Pardonnez moi de me joindre à vous.

Que devrons nous dire à notre gouvernesse, nous qui sommes ici ?
Si je pars maintenant pour Samariis, croiserai-je un tueur ?

Nous n'en sommes pas encore la pour l'instant, les êvenements tragique sont une coincidence je pense mais nous en reparlerons.

Je me présente a vous au Nom de notre gouvernesse engager le dialogue, et je vous demande l'hospitalité !

Je vous salue. Je suis Maître Jacques, un savant de Samariis. J'ai jadis accompagné les troupes avec mes infimières pour libèrer votre ville et votre peuple des barbares. Je suis un homme de paix et de dialogue. Je sais aussi qu'ensuite nous avons oublié que vous étiez un peuple libre... J'espère pouvoir avec vous servir un peu d'ambassadeur de la paix, et entamer un dialogue construtif... Pour le bien de tous.

Pour l'heure, votre gouvernesse n'a désigné qu'une seule ambassadrice officielle, qui est actuellement en pourparlers. Vous comprendrez qu'il faudra voir avec elle. De notre coté, seul celui qui est à notre tête peut parler en notre nom. Je vous invite à la patience.

Prêtre, pour répondre à votre question, aucune consigne n'a été donnée aux Résistants pour mener une attaque. De toutes manières, vous ne possédez pas d'autre propriété que votre terrain ici. Vous ètes donc citoyen Djarii de plein droit, selon nos critères.

Je pense que vous allez recevoir une missive rétablissant cette erreur.

Nous patienterons alors

Oh, moi je sais que je n'ai rien d'officiel. Mais vous avez invité tout le monde à s'exprimer, j'en profite.

Citation :

Vous ètes donc citoyen Djarii de plein droit, selon nos critères

Et selon les critère de Samariis, vous êtes Samaréens de pleins droits... Peut être qu'il va tous falloir changer notre manière d'approche si on veut préserver une paix durable.

L'homme leva une main

Il y a là beaucoup de questions et beaucoup d'erreurs. Vous n'avez pas reçu l'enseignement du Désert et la patience.

Prêtre, il est actuellement bien affirmé dans votre Assemblée que les natifs de Djariif ne sont pas Samaréens. Et ils ne veulent pas l'être. Et que les lois Samaréennes ne s'aplliquent qu'aux Samaréens installés ici. Les Samaréens installés ici peuvent se voir en revanche doter de la citoyenneté Djarii.

Vous découvrirez ici, au fur et à mesure du temps, certaines de nos coutumes. D'autres que nous, nous l'espérons, vous les montrerons aussi, me comprenez-vous ?

..hum le Désert et la patience..

Voila quelque chose qui sonne a mes oreilles comme une musique ennivrante à laquelle je ne peut resister. Je me souviens de mes longs séjour dans ce désert ou je me suis perdu afin de mieux me retrouver !

Je me souviens de ce vent doux et chaud qui a balayé mon visage afin de m'apporter toutes les réponses dont j'avais besoin.

C'est dans ce désert que j'ai connu la vrai liberté et il me tarde de la rejoindre à nouveau..

Hugues, ainsi que Maître Jacques : Sur désir de votre gouvernesse, Djahir, qui est à notre tête, peut maintenant vous recevoir si vous le souhaitez. La porte vous est ouverte.

Maître Jacques s'inclina, il était heureux que Dame Huan lui accorde cette confiance ainsi qu'a Hugues, un homme droit et sincère qu'il respectait... Son ami.

"Merci, il m'attarde de rencontrer Djahir. Je suis un homme de paix, je saurai l'écouter avec respect, dialoguer, échanger avec lui... avec vous"

Comme mon ami je m'incline et propose de nous installer pour commencer les négociations.

Bonjours amis,

Je suis un politicien samaréen et je vous souhaite bien du courage dans cette négociation.

Shiina, que diriez vous si je vous accompagne dans votre travail ?