Un sympathisant de la cause, pas de la révolte armée

Brodak fit à son tour son entrée en ce lieu de rencontre. Il était un sympathisant de la première heure et avait apporté son soutien à Anticlès, de la Nova Ecarlate lorsqu'il avait, le premier, proposé une idépendance de Djariff. Mais voir que d'autres clans soutenaient cette thèse réchauffait le coeur. Mais il fallait que Brodak les convainque de ne pas défendre leurs idées les armes à la main...

Une des gardes s'approcha de Brodak

Les gens comme vous nous sont précieux. Ce sont eux qui permettront de remettre Djariif à sa vraie place, comme cela aurait du être fait.

La lutte armée est une épée maintenue au dessus de la tête des tyrans, une menace nécessaire tant que les droits fondamentaux des Djariis ne seront pas gravés dans le marbre, et que certains parlent encore d'annexer, de soumettre, d'assimiler.

C'est notre voeu et nous sommes heureux de trouver des soutiens parmi vous. Beaucoup de Samaréens sont mal informés, et nous ne pouvons nous rendre en votre Assemblée, pour des raisons que vous comprenez.

L'un de nos hommes a réussi à se frayer un chemin jusqu'aux Joutes de l'OMIS et à y distribuer un tract. Peut-être pouvez-vous le faire remonter à l'Agora...

La femme s'inclina devant Soba

Merci. faites remonter les informations, dites ce que vous avez vu et entendu ici. Les envoyés gouvernementaux, avec lesquels notre chef parlemente, en ferons de même jusqu'au Palais.

Nous sommes donc d'accord. Oui à une alliance profonde entre les deux cités. Non à la création d'un empire samaréen. Peut-être serait-il de bon ton de fonder un parti politique défendant ces idées...

Fermir arriva accompagné de quelques un de ses hommes tous des anciens de la bataille pour Djariff. Il étaient deja venue une fois libéré la ville et esperaient ne plus voir le sang couler ici.

Je suis entierement de votre avis Brodak. Il n'est peu etre pas necessaire de crée un parti spécifique et ce n'est pas a nous de le créer si il doit exister mais au djarii.

Fermir s'inclina devant la femme.

Madame mon clan et moi ferons tous ce qui est en notre pouvoir pour que le peuple de Djariff et de Samariis s'écoute à nouveaux.
Je ne peu engager Gloria Imperialis en mon nom mais je tacherai de faire entendre raison aux membres du parti.

Messieurs, vous avez là une tâche primordiale. Il n'y a aucune menace de division dans ce que nous demandons : Que les droits des natifs Djarii soient gravés dans le marbre pour les protéger de toute annexion, assimilation et idée de cette sorte ; que dans un deuxième temps une Assemblée formée de natifs et de Samaréens installés ici, citoyens Djarris eux aussi, soit formée. Cette Assemblée formée de gens motivés fera vivre Djariif, enfin, avec leurs idées autant que les nôtres.

Il n'y rien de mal là dedans, et Djariif pourra offrir ses richesses propres, pour l'instant gâchées.

ce message doit être porté et entendu. Nous ne pouvons le faire nous-mêmes hors de ces murs.

Malheureusement, les deux candidats à l'élection se sont positionné contre... Et la loi interdit l'arrivée d'un troisième candidat. Il aurait fallu faire éclater ce scandale bien avant...

Il nous reste le levier de l'agora si le dialogue est complétement bloqué.

Ne vous inquetez pas, le vainqueur aura beau rouler des mécaniques, les élections à la Pairie sont telles qu'elles sont incontrôlables totalement par un groupe politique.

De toute façon , si vos idées se retrouvaient bloquées, comptez sur mon soutien. Même si je ne les partage pas, elles doivent se faire entendre.

Admin a écrit:

Que les droits des natifs Djarii soient gravés dans le marbre pour les protéger de toute annexion, assimilation et idée de cette sorte ; que dans un deuxième temps une Assemblée formée de natifs et de Samaréens installés ici, citoyens Djarris eux aussi, soit formée. Cette Assemblée formée de gens motivés fera vivre Djariif, enfin, avec leurs idées autant que les nôtres.

Nous sommes un tout jeune clan, à peine établi en Samarîis, et je n'ai pas la prétention de pouvoir saisir toute la complexité des relations qu'entretiennent les Djarii avec les Samaréens, issues de deux peuples dont les histoires respectives ont convergées à un moment donné. Cependant j'adhère à vos idées, qui ne sont ni plus ni moins que l'énoncé du principe des peuples à pouvoir disposer d'eux-même.

J'ai pris acte de votre doléance, vous ne souhaitez pas (ou plus) être considérés comme une colonie samaréenne, ni une cité dortoir, ou une extension territoriale de Samariis destinée à soulager la métropole de son surpeuplement. Vous voulez que Djariif, vive, sois pleine et entière.

Mais quelle souveraineté désirez vous pour Djariif ? Cette Assemblée serait donc legislative ? Exécutive ? Quel serait donc le statut que Djariif souhaite voir reconnaître, ou recouvré ? C'est cela qui me semble, pardonnez-moi, difficile à cerner dans vos revendications.

Citation :

Il n'y rien de mal là dedans, et Djariif pourra offrir ses richesses propres, pour l'instant gâchées.

Et je pense que nombre de citoyens samaréens et djarri ne demandent qu'à les partager, et à s'apprendre les uns les autres !

Bonjour,

Je suis Siddharta aide de camp d'Ellgwïr, chambellan du clan des Serres d'Argent. Nous avons participé à la libération de Djariif et y avons bati notre première caserne alors que les notres campaient encore sous les tentes aux portes de Samarîis. Nous sommes maintenant, bien que ctoyens de Samarîis, établis dans les 2 cités.

Je suis chargé par mon chambellan d'établir une prise de contact avec le gouvernement légitime de Djariif. Nous souhaitons pouvoir poursuivre en toute tranquillité notre activité de protection des marchands circulants entre les 2 cités.


Ellgwïr pense qu'une ambassade officielle devrait représenter Samarîis auprès du gouvernement de Djarîif, mais aimerait savoir comment celui-ci est ou était organisé?

Je suis ici pour rencontrer ceux qui disent représenter Djariif.